Pour cette deuxième édition, l’évènement s’est voulu davantage fédérateur.
Si des agents de l’ETNIC et de la Fédération Wallonie-Bruxelles ont tout naturellement pris part à l’évènement, le Hack’n WOW a aussi accueilli de nouveaux publics : des étudiants du supérieur - notamment de l’EPHEC et de la HELB - mais également des citoyen·ne·s féru·e·s de sport, d’informatique et de culture.
Au total, 10 équipes pluridisciplinaires se sont affrontées sur le terrain de l’innovation pour trouver LA solution permettant de rapprocher sport et culture.
Ce joyeux melting pot de profils présentait de nombreux avantages : les étudiants apportaient un vent de fraicheur aux profils plus expérimentés, tandis que ces derniers permettaient aux plus jeunes hackers de sortir du carcan scolaire, tout en les confrontant à certaines réalités du terrain. En somme, ce fut un beau moment de rencontre et de coopération, ouvrant de nouvelles perspectives pour toutes et tous. Autre nouveauté cette année : le Hack’n WOW s’est déroulé en même temps que le Créathon organisé par la Faculté Polytechnique de l’UMONS.
Un hackathon jumeau donc, qui a abordé les mêmes thématiques avec une perspective de sobriété numérique… Une première en Wallonie !
Les deux évènements étaient en contact régulier par visioconférence et chacune des parties a élu un coup de cœur parmi les projets proposés par l’autre évènement. Les étudiants de Polytech ont d’ailleurs pu compter sur les coaches du Hack n’ WOW !

L’expression « Work hard, play hard » a pris tout son sens, cette année. Si les hackers ont travaillé d’arrache-pied pour présenter des projets de qualité au jury, des animations et des moments d’inspiration ont également parsemé le programme de cet hackathon. L’occasion de (re)trouver de l’inspiration, de sortir la tête des écrans et de se défouler.

Les hackers ont pu participer à des keynotes abordant différentes thématiques, à savoir :

• Les compétences numériques (avec Pix),
• La durabilité dans la technologie (avec Red Hat),
• L’intelligence artificielle (avec Microsoft et le MIC Mons)

Des rencontres clés qui ont permis de nourrir les participants dans leurs réflexions. Le B-boy Lucky, sportif de haut niveau de la Fédération Wallonie-Bruxelles, nous a également fait l’honneur de sa présence, non seulement afin de présenter le breakdance en tant que nouvelle discipline olympique, mais également en tant que juré. Sa double casquette d’assistant de recherche en ingénierie et d’athlète lui permettant à la fois de challenger le contenu, mais aussi certains aspects techniques des projets présentés.
Au rayon culture, la Ligue d’impro ainsi que des artistes ont offert des moments de déconnexion aux participants, l’occasion de rire, de danser et de s’aérer l’esprit !